Quand Dieu naquit à Noël

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Quand Dieu naquit à Noël
Dans la Palestine,
On vit ce jour solennel
Une joie divine
Il n’était ni petit ni grand
Qui n’apportât son présent
Et no, no, no, no,
Et n’offrit, frit, frit,
Et no, no, et frit, frit
Et n’offrit sans cesse
Toute sa richesse. (bis)

L’un apportait un agneau
Avec un grand zèle,
L’autre, un peu de lait nouveau
Au fond d’une écuelle
Et sous ses pauvres habits
Cachait un peu de pain bis
Pour la, la, la, la
Pour la sain, sain, sain,
Pour la, la, pour la sain,
Pour la Sainte Vierge
Et Joseph concierge. (bis)

Ce bon père putatif
De Jésus mon maître
Que le pasteur plus chétif
Désirait connaître,
D’un air obligeant et doux
Recevant le don de tous
Sans cé, cé, cé, cé
Sans ré, ré,ré, ré
Sans cé, cé, sans ré, ré
Sans cérémonie
Pour le fruit de la vie (bis)

Il ne fut pas jusqu’aux rois
Du rivage maure
Qui joints au nombre de trois
Ne vinssent encore
Ces bons princes d’Orient
Offrirent en le priant
Len, l’en, l’en, l’en
Cens, cens, cens, cens,
Len, l’en, l’en, cens, cens, cens,
L’encens et la myrrhe
Et l’or qu’on admire. (bis)

Quoi qu’il n’en eût pas besoin
Jésus notre maître
En prit avec un grand soin
Pour faire connaître
Qu’il avait les qualités
Par ces dons représentées
D’un vrai, vrai, vrai, vrai
D’un roi, roi, roi, roi,
D’un vrai, vrai, d’un roi, roi

D’un vrai roi de gloire
En qui l’on doit croire. (bis)

Plaise à ce divin enfant
Nous faire la grâce
Dans son séjour triomphant
D’avoir une place
Si nous y sommes jamais
Nous goûterons une paix
De Ion, Ion, Ion, Ion,
De gue, gue, gue,gue
De Ion, Ion, de gue, gue,
De longue durée
Dans cet empyrée. (bis)